Le nouveau Plan d’Action pour l’Humanité

Les Solutions pour les Gangs et la Drogue

Pourquoi est-ce nécessaire ?

En ce qui concerne l’alcool, le tabac et les drogues, il n’existe aucune réglementation sur les pesticides, les produits synthétiques et les additifs utilisés pour la fabrication du produit fini. Il s’agit d’une industrie indépendante, qui dispose d’une marge de manœuvre presque illimitée pour empoisonner le corps, le mental et l’esprit (l’âme) des gens. Les fonds utilisés financent, en fin de compte, la spirale descendante de ceux qui ingèrent ces produits, et ces fonds retournent dans les poches d’oligarques et de criminels qui n’ont aucune considération pour la vie organique en général et pour l’humanité en particulier.

Les utilisateurs ne savent pas ce qu’ils injectent dans leurs vaisseaux, car les ingrédients ne sont pas suffisamment répertoriés pour permettre un choix libre et éclairé.

La police doit consacrer trop de temps à la lutte contre la violence et le vol engendrés par un système mis en place par ses contrôleurs, et l’argent des contribuables finance ce même système féodal. Cela limite l’application de lois valables par des hommes et des femmes qui veulent apporter des changements positifs à la communauté dans laquelle ils vivent et avec laquelle ils vivent.

La Solution :

  1. Soumettre et/ou faire tester par des laboratoires agréés tous les tabacs, alcools et drogues/substances contrôlées pour détecter les produits synthétiques, les poisons, les pesticides et les additifs de toutes sortes.
  2. Réglementer les fabricants d’alcool, de tabac et de drogues/substances contrôlées et exiger que leurs produits soient étiquetés à l’appui d’une liste de tous les ingrédients et contaminants.
  3. Légaliser la vente et la consommation de drogues, de tabac et d’alcool, sans règles, sans règlements et sans incarcération, sauf si les consommateurs commettent des délits tels que le vol, le vandalisme ou la violence. Il a été prouvé que la légalisation des drogues en Hollande, au Portugal, en Allemagne et au Venezuela réduisait considérablement la criminalité, la mortalité et la toxicomanie.
  4. Créer une division des drogues au sein des programmes de services sociaux, des hôpitaux et des dispensaires, de sorte que les drogues ne puissent être vendues qu’à ces endroits ou dans les centres de distribution de marijuana, ce qui les soustrait à la rue et au contrôle des gangs.
  5. Les magasins qui vendent actuellement la marijuana et les alcools doivent recevoir les ressources nécessaires pour s’agrandir et y inclure une structure de soutien pour les utilisateurs.
  6. Tous les centres doivent inclure un personnel composé d’individus qui ont vendu et/ou consommé de la drogue et qui souhaitent se réinsérer dans la société.
  7. Dans ces centres, seules 4 questions sont posées. 1 : Nom ? 2 : Adresse et coordonnées ? 3 : Voulez-vous de l’aide pour votre dépendance, oui ou non ? 4 : Si la réponse et négative : de quel article et de quelle quantité avez-vous besoin ? Donc : pas de sermon ni de doigt accusateur ; juste une transaction simple et directe. La responsabilité incombe désormais aux personnes qui choisissent d’acheter ces substances. Elles sont responsables de leurs propres actes. Elles exercent leur libre arbitre et personne d’autre qu’elles n’est responsable des conséquences.
  8. Intégrez tous les chefs de gangs arrêtés dans la Solution de Non-Responsabilité pour une Divulgation complète.

Qui y gagne ?

De nouveaux emplois sont créés, tels que des emplois de technicien pour les laboratoires et les centres de test, ainsi que des formateurs pour enseigner à différents niveaux. Les personnes souffrant de toxicomanie auront à leur disposition des ressources pour se désintoxiquer. La police peut consacrer plus de temps aux vrais problèmes de la communauté. Les anciens membres de gangs et les anciens toxicomanes peuvent être employés dans le système légalisé et aider les autres dans le processus.

Qui en bénéficie?

Les taxes supplémentaires soulageront les budgets locaux et nationaux. Une partie des fonds générés irait aux programmes d’enseignement, ce qui créerait plus d’emplois pour enseigner réellement au public non seulement les dangers externes, mais aussi les dangers internes – bien plus dommageables – que ces drogues produisent. Trop peu de gens sont conscients de l’influence des esprits sombres et de la possession du « vaisseau » (physique et énergétique) permise et initiée par l’utilisation de ces drogues.