Quel est l’objectif de ce document ?
Préciser d’une manière meilleure, appropriée et légale, dans le cadre de la Rta ou Loi Universelle, nos définitions de l’homme, notre statut et la déclaration de notre revendication et de notre souveraineté.
Tout au long de l’histoire, des personnes ont déterminé les choses pour nous dans le but de nous contrôler et de nous asservir, tout en récoltant nos énergies vitales, sans retour équitable en échange. Il s’agissait essentiellement de classer l’homme comme inférieur à certains autres, alors que, sous la direction de la Source, nous sommes tous nés égaux. Le fait de considérer les personnes (et les âmes) comme des biens meubles, avec notre code de bétail de « caution » des Nations Unies, est un dénigrement de l’humain, qui se voit refuser la véritable connaissance et la signification de cette transaction. Notre richesse, créée à la naissance, est placée dans un fonds avec un numéro CUSIP (référence de sécurité sociale) et nous est (tout aussitôt) cruellement refusée en nous déclarant tous morts, sans que nous le sachions ou que nous y consentions. C’est d’ailleurs pourquoi on nous demande d’écrire notre nom en majuscules – et vous remarquez que le nom sur toutes les pierres tombales est écrit de la même manière. Les contrôleurs ont créé le sens des mots puis l’ont aussitôt occulté à un niveau tel que l’homme, la femme ou l’enfant moyen sont inconscients de leur signification réelle. Il s’agit d’une fraude et d’une tromperie contre l’humanité de la plus haute importance et des corrections majeures doivent être apportées, non seulement pour remédier à cette situation, mais aussi pour agir devant l’effondrement mondial qui est imminent.
Notre richesse ne pourra jamais nous être remboursée. Nous sommes conscients de l’effondrement total des anciens systèmes bancaires et de la faillite de toutes les banques en raison du double système bancaire secret appelé système « front and back » (comme les guichets et l’arrière-salle). Cependant, la richesse peut être transmise, d’une manière équitable et transparente, avec la volonté des gens de faire en sorte que chacun reçoive une part aussi égale que possible. Notre solution pour y remédier se trouve dans notre Nouveau Plan pour l’Humanité.
Les définitions :
La Personne :
- « Personne » est un mot créé au XVIe siècle, qui définit une forme fictive de propriété, de droits et de titres enfermant certaines caractéristiques et apparences comme l’identité d’un ou de plusieurs hommes ou femmes vivants.
- Une « personne » est formée par l’inscription et l’enregistrement valides dans un registre. Le rôle le plus élevé définit les droits les plus importants pour un type de personne.
- Le mot « personne » vient du mot latin persona, qui signifie masque, personnage ou participant à une pièce de théâtre.
- L’invention de la notion de personne a permis d’y enfermer les corps de chair vivante et d’aliéner les droits naturels qui leur sont associés, puis de les considérer comme une sorte de propriété qui peut être vendue, achetée, saisie ou cédée.
- Une personne peut posséder une autorité, des pouvoirs et des droits plus ou moins importants qu’une autre et un homme «physique» (ou une femme) peut être associé à plus d’une personne. (note : de là vient la distinction faite parfois entre « personne physique » et « personne morale »)
- Une personne peut détenir des droits d’utilisation bénéfiques, mais ne peut pas légalement ou légitimement être le détenteur d’un titre de propriété. Par exemple, un acte hypothécaire l’indique clairement ; il révèle que vous n’êtes pas propriétaire, mais locataire.
- La première personne est la forme la plus élevée de personne lorsqu’elle possède l’esprit compétent d’un homme ou d’une femme « physiques » vivant.
- Les hommes et les femmes « totalement physiques » sont de véritables personnes possédant des droits naturels associés à une confiance divine, lorsque l’esprit divin individuel transmet ces droits en s’incarnant en tant qu’homme ou femme de chair vivante, avec un corps, un mental et un esprit.
- La non-reconnaissance d’une personne valide, dûment constituée et formée, ou la revendication d’une juridiction supérieure par une personne inférieure ne peut être soutenue ecclésiastiquement, légalement, licitement ou raisonnablement sans force et coercition ; par conséquent, tout jugement ultérieur est nul et non avenu dès le début. De même, une personne physique attribuée à moins d’un homme ou d’une femme vivant ou d’une forme de vie d’ordre supérieur est automatiquement nulle et non avenue. Attribuer une personne physique (naturelle) ou artificielle à un animal, une notion ou une chose est un acte contre nature et illégal.
- Une personne physique ne peut jamais être dépréciée dans une classe séparée en attribuant qu’elle possède la forme inférieure d’un animal, et toute loi, précepte ou décret qui la sépare dans une classe inférieure d’animaux est automatiquement nul et non avenu dès le début.
Nous, le peuple, déclarons que notre version du peuple est la version nouvelle et durable ; les hommes et les femmes vivants entièrement physiques (naturels) sont de véritables personnes possédant des droits naturels associés à une confiance divine, lorsque l’esprit divin individuel transmet ces droits lors de l’incarnation en tant qu’homme ou femme de chair vivante dotés d’un corps, d’un mental et d’un esprit. Toutes les autres significations, définitions et caractérisations qui nous sont attribuées sont nulles et non avenues.
Sujet :
- « Sujet » est un mot du XVIe siècle décrivant une personne qui doit son allégeance à une fonction supérieure ou à un corps politique et qui accepte la compétence (compétence matérielle) de leurs lois.
- Le mot « sujet » dérive du mot latin subjectio qui signifie : se soumettre ; se rendre. Ce mot a permis de remplacer les notions de vassal et de serf (esclave) par un seul mot.
Nous, le peuple, rejetons cette définition de nous en tant que sujets et nous déclarons tous égaux.
Citoyen et habitant :
- Les termes « citoyen » et « habitant » sont des termes modifiés au XVIIIe siècle qui définissent l’effet juridique des deux types possibles de statut, de titre, de droits, de personne et de patrimoine, lorsque le nom d’un sujet, d’un étranger ou d’une personne étrangère est enregistré et énuméré :
a. Un « habitant » (« denizen », également appelé « citoyen » – écrit en minuscules – aux États-Unis depuis 1790) est un étranger non-résident émancipé par le pouvoir souverain, conservant la pleine possession de son nom, donc de sa personne et de tout titre associé et dérivé, lui permettant de jouir des droits de propriété, de commerce et d’exercer une fonction ou une dignité. Toutefois, un habitant ne peut pas hériter de terres par voie de succession.
b. Un « citoyen » est un résident naturalisé ou né naturellement, qui renonce à la propriété de son nom, donc de sa personne ou de tout titre associé et de ses dérivés, mais qui se voit accorder certains droits et privilèges tels que le droit de propriété, le droit au commerce et le droit d’occuper certaines fonctions ou dignités, ainsi que le droit d’hériter de l’usage des terres par voie de succession.
- À l’origine, le terme « citoyen » désignait les membres des « Livery Companies » de Londres (connues sous le nom de guildes, comme la Guilde BAR aujourd’hui), qui étaient connus collectivement sous le nom de « citoyens de Londres ».
- Le mot « denizen » (« habitant ») a été créé au XVIe siècle pour permettre aux étrangers (« strangers » ou « aliens ») d’acquérir des biens, des titres et des fonctions officielles en Angleterre. Le mot vient de deux mots latins : « deni », qui signifie « dix » ou « dix fois », et « zona », qui signifie « ceinture », (en anglais : belt, sash ou girdle) ; il signifie donc littéralement : celui qui possède dix fois plus de compétences (ceinture, sash, girdle) qu’un citoyen naturel. C’est ainsi que les exilés Vénitiens/Khazars de Pise et de Venise, ainsi que les familles nobles, sont devenus les familles les plus influentes d’Angleterre.
- Le terme « citizen » a été utilisé pour la première fois, dans un texte de loi, dans la Constitution des États-Unis de 1787, et était écrit en minuscules. Le mot « Citoyen » (majuscule) a été créé par une loi du Congrès américain de 1790 prévoyant le recensement des habitants des États-Unis, qui a eu recours aux maréchaux et à la milice ainsi qu’à des amendes massives et à des menaces de violence pour obliger les gens à s’inscrire au recensement et à s’identifier en tant que « Citoyens », le nom étant écrit en majuscules.
- Le chapitre XXXIV du Congrès américain, une loi prévoyant des dispositions pour le paiement de la dette des États-Unis en 1790, a ensuite introduit la notion d’annuités, cachées sous forme d’obligations, et de contributeurs, cachés sous forme de souscripteurs, par rapport à des noms, des vies et des personnes figurant en majuscules dans la liste des citoyens. Les annuités sous forme d’obligations étaient un moyen de financer, entre autres, les efforts de guerre, dont les dettes accumulées continuent d’être répercutées sur les Citoyens eux-mêmes.
- Au XVIIIe siècle, la signification des termes « citoyen » et « habitant », ainsi que leurs racines étymologiques, ont été modifiées en utilisant la langue Basque pour en changer le sens :
a. Le mot citoyen a été redéfini à partir de deux mots, cito (kito) signifiant « fini », « terminé » et izen, signifiant « nom » ; ainsi, Citoyen ou CITOYEN désigne une personne sans propriété ou possession d’un nom, sans contrôle de son propre patrimoine.
b. Le mot « denizen » a été redéfini à partir de deux mots, dena signifiant « tout », « tous » et izen signifiant « nom » ; par conséquent, « Denizen » désigne quelqu’un qui possède tout et tout ce qui est associé au nom, sans avoir le contrôle de son propre patrimoine.
- Depuis le début du 20e siècle, une quasi-forme de citoyen a été créée sous le nom de CITOYEN ou membre d’une société, équivalent à un Citoyen (majuscule) d’un État ou d’un pays, mais pour une société. Cela s’applique à la citoyenneté du gouvernement U.S., car le gouvernement U.S. n’est pas du tout un gouvernement, mais une société opérant comme ledit gouvernement, sous les auspices de USA Incorporated.
- La signification et l’application juridiques de citoyen, Citoyen, CITOYEN restent au cœur de la légitimité revendiquée des obligations mondiales, des rentes, des successions, des actes de naissance et de la structure du « cestui que vie » (celui qui vit) qui sous-tend le modèle caché d’asservissement des personnes pour le compte de certaines banques privées.
Nous, le peuple, n’acceptons pas notre rôle d’habitant ou de citoyen, majuscule ou minuscule, qui a été perpétré par la fraude et la tromperie, et le déclarons nul et non avenu. Nous déclarons et revendiquons nos droits égaux, nos rentes, nos successions, nos obligations et nos actes de naissance en vertu du « cestui que vie », et exigeons une part proportionnelle, égale à celle de tous les autres.
Résident :
- Le mot « résident » est une forme juridique décrivant un statut particulier d’une personne liée à certaines obligations fiduciaires, attachée à un bureau ou à un logement en vertu de l’occupation, de l’intention et de la démonstration de l’utilisation de ce bien.
- Le mot trouve son origine au XVIe siècle dans deux mots latins : res, qui signifie « propriété », chose, objet, forme, matière, et sedere, qui signifie « siège » (d’une fonction). Le mot faisait référence à l’officialisation des bénéfices, ou des domaines officiels associés à certaines fonctions de pasteur ; ainsi, les personnes nommées à ces postes étaient tenues d’être présentes pour s’acquitter de leurs fonctions.
- « Resiant », un mot similaire à « résident », a également été créé au 17ème siècle pour revenir au droit féodal qui liait les serfs (esclaves) aux terres de leurs seigneurs, en décrivant les obligations et les avantages d’être un « locataire à volonté ». Le concept est que, une fois que le locataire a accepté le bénéfice de la location, qu’il a occupé et utilisé la terre, il est obligé de rester sur son lot et ne peut pas voyager sans l’autorisation de son seigneur. En d’autres termes, il était emprisonné sur ordre du seigneur.
- Au XVIIIe siècle, avec le remplacement du « bail à volonté » par le « bail en copropriété », le terme « resiant » a été remplacé par « résident » pour décrire l’obligation des locataires de rester sur les terres de leur propriétaire, soumis à la juridiction de la loi et de ne pas voyager à moins d’être en possession d’un certificat ou d’un mandat ; c’est l’origine de l’acte de naissance.
- Dans le même temps, les propriétaires terriens et les hauts fonctionnaires se voient accorder le statut de non-résidents, ce qui signifie qu’ils ne sont pas liés à leur bénéfice et qu’ils peuvent voyager librement dans certaines limites sans avoir besoin de certificats ou d’autorisations.
Nous, le peuple, n’acceptons pas ces rôles de résidents, qui ont été perpétrés par fraude et tromperie, et nous les déclarons nuls et non avenus.
Public :
- « Public » est un terme juridique créé au XVIe siècle décrivant une nouvelle forme de propriété, de droits et de conditions d’accord, dans laquelle les véritables propriétaires sont cachés ou présumés inconnus, tandis que la communauté des esclaves détermine ses propres affaires en tant que peuple ou partage le pouvoir (par l’intermédiaire du parlement) avec une classe dirigeante dans le cadre d’un État.
- Le mot « public » est dérivé de la conjonction du mot latin pube(s), qui signifie « âge de la majorité », « jeune adulte » ou « population adulte », et de liceo, qui signifie « être à vendre », « avoir un prix/une valeur » ; le sens littéral du mot « public » est donc : « une population adulte à vendre ». Une population adulte possédant une valeur en tant que propriété pour le commerce communautaire. Une communauté autonome d’esclaves commerciaux cachés.
- Depuis le XVIIIe siècle, la revendication par l’Église Romaine de la propriété absolue de tous les hommes et de toutes les femmes – l’esclavage ouvert – a été abolie et remplacée par l’esclavage volontaire, continu et caché.
Nous, le peuple, ne sommes pas des fonctionnaires ou des esclaves, ce qui a été perpétré par la fraude et la tromperie, et nous le déclarons nul et non avenu.
Privé :
- « Privé » est un terme juridique créé au XVIe siècle décrivant une forme spéciale et secrète de propriété, de droits ou de conditions d’accord ou d’action par lesquels une ou plusieurs personnes sont légalement autorisées à priver les autres de leurs droits.
- Le mot « privé » provient de la combinaison des mots latins privo, qui signifie « priver », « voler », « emporter », et -atus, un suffixe latin équivalent à -ed en anglais ; le sens littéral du mot « privé » est donc : privation légale, vol ou saisie.
- La forme la plus courante de droit privé secret est la Lettre de Marque. Celui qui détient ou possède une lettre de marque est normalement appelé un « corsaire » et celui qui agit de la sorte sans lettre de marque en bonne et due forme est appelé un « pirate ». On pourrait donc dire, en substance, que les pirates des mers sont arrivés sur terre et y ont revendiqué la validité du Droit Maritime.
Nous, les citoyens, ne sommes pas des corsaires, et nous n’acceptons pas le rôle des corsaires. Les pirates sont des criminels et, en vertu de la loi, de nombreux criminels n’ont aucun droit par rapport à d’autres, et la loi est donc nulle et non avenue.
État :
« État » est un terme politique du XVIe siècle qui désigne la reconnaissance formelle d’un pays ou d’un territoire en tant qu’entité souveraine indépendante et légitime, en vertu d’un acte de reconnaissance statutaire émanant d’un corps politique ou d’un autre pays.
- Le mot « État » est dérivé du mot latin statuo, lié au mot statute. Par conséquent, un État signifie littéralement « un corps formé par une loi ».
- Un État reste la reconnaissance formelle la plus élevée de la souveraineté.
- Une « nation » ne peut pas être formellement reconnue comme un État. Un État reconnu ultérieurement en tant que « nation » renonce par définition à son statut souverain d’État.
Nous, le peuple, rejetons l’utilisation d’États déclarés sous de fausses prémisses, et donc nuls et non avenus. Nous, le peuple, souhaitons que le pays connu sous le nom d’Amérique (pas US ou U.S.) soit déclaré comme une nation souveraine, dont tous les habitants sont égaux en droits.
République :
- « République » est un terme juridique du XVIe siècle décrivant une forme aristocratique de gouvernement qui tire tous ses pouvoirs, directement ou indirectement, du consentement d’un corps d’élite de membres, connu sous le nom de « peuple », dans lequel le pouvoir exécutif est logé dans certaines fonctions pour lesquelles des membres qualifiés sont ensuite choisis par l’ensemble de la population pour une période limitée.
- Le mot « république » est dérivé de la conjonction, au XVIe siècle, des mots latins res, qui signifie « intérêt » , « affaires », « matière », « richesse » ; pube(s), qui signifie « âge de la majorité », « jeune adulte » ou « population adulte », et liceo, qui signifie « être à vendre », « avoir un prix/une valeur » ; le sens littéral du mot « république » est donc « richesse communautaire », « commonwealth ». Le concept de « commonwealth » et de « république » sont une seule et même chose. Ce qui signifie que l’Amérique est sous la juridiction du Commonwealth et une filiale des agents de la Couronne de Londres, au Royaume-Uni.
Les personnes :
Nous, le peuple, qui ne sommes pas des citoyens d’une quelconque forme de gouvernement, sommes des personnes souveraines qui choisissent en toute liberté et qui ne sont liées à aucune organisation, qu’elle soit politique ou autre.
L’humain :
Il existe trois versions de hu-main ; le hu dans « humain » a trois significations : « universel supérieur » ; le terme Sumérien Anunnaki hu signifie « serpent » ; en Sanskrit, il signifie « dragon ». Nous définissons et déclarons notre nouvelle version comme « hu », c’est-à-dire l’humain universel supérieur, et non l’humain serpent ou dragon. Notre liberté de choisir notre version est un droit universel, et non un privilège terrestre.
Nous, les citoyens, rejetons tous les termes juridiques et leurs définitions. Le jargon juridique est la langue du babillage ou du langage des bébés, et n’a donc aucun sens. Cela signifie que ceux qui opèrent en s’y référant ne sont pas sains d’esprit ; ils doivent être déclarés incompétents et incapables de fonctionner ou administrer en vertu de la loi naturelle ou loi Rta. En tant qu’êtres souverains et gardiens, nous revendiquons et prenons l’entière responsabilité du plan de restauration, au nom du collectif et au nom de la planète elle-même, jusqu’à ce qu’un référendum mondial puisse être initié.
La définition de tout ce qui précède et le retour à ses intentions et à sa signification originelles constituent notre déclaration de souveraineté et notre revendication de l’égalité des droits avec les autres peuples, de l’égalité des droits en termes de répartition des richesses et de l’égalité des droits en ce qui concerne notre revendication d’une part équitable de tous les minéraux de la Terre qui nous ont été donnés par le Créateur.
Revendication de Titre
Avant qu’une société, une religion ou une civilisation d’ordre supérieur n’existe dans le système stellaire appelé « système solaire », ou dans tout autre système stellaire ; avant que les premières pensées, les premiers symboles ou les premiers mots ne soient conçus, dessinés ou prononcés par les ancêtres des êtres humains vivant aujourd’hui ; et avant même que la vie ou la matière n’existent, l’idée de l’existence existait sous la forme de cet idéal appelé « dieu » (Source), « l’universel », « l’absolu », « la conscience collective unique et divine ». C’est à cette force unificatrice et singulière que les ancêtres des êtres humains vivant aujourd’hui adressaient leurs invocations. C’est ce créateur divin, unique, vrai et absolu de toute existence qui a conféré en fiducie à tous les hommes et femmes vivants certains droits et obligations irrévocables, en souvenir perpétuel, en tant que fiduciaires et gardiens de toute vie sur la planète Terre.
Chaque unité d’esprit unique qui se sépare de la conscience collective divine unique pour s’expérimenter en tant qu’individu a les mêmes capacités et les mêmes droits de propriété sur elle-même, qui lui ont été transmis en toute confiance (en fiducie) par la conscience collective divine unique. Lorsqu’un esprit unique décide de s’incarner sur une planète, il transmet en toute confiance les pleins droits de propriété et d’utilisation de l’esprit et du corps physique. La conscience collective unique divine est le créateur divin de toutes les choses de l’univers. En tant que créateur de la planète Terre, le créateur divin peut être le seul propriétaire de la planète ; ainsi, lorsqu’un esprit unique s’incarne sur la planète Terre, le créateur divin, en tant que concédant, transmet les pleins droits de propriété et d’utilisation de toutes les ressources de la planète à chaque esprit, mental et corps individuel ; ainsi, chaque esprit individuel est l’exécuteur général, le souverain de son esprit et de son corps et de la planète. Chaque esprit individuel est l’administrateur (ou fiduciaire), avec un titre de propriété complet sur le corps. Le corps est le bénéficiaire, jouissant du droit d’utiliser toutes les ressources de la même manière que tous les autres individus uniques vivant sur la planète Terre. En tant qu’administrateurs et bénéficiaires, tous les individus vivants, hommes et femmes, partagent ces droits et obligations de manière égale.
Chaque individu vivant, homme ou femme, a le droit absolu de choisir et d’exercer son libre arbitre. Comme les individus ne vivent pas seuls, aucun être individuel doté d’un esprit conscient et d’une conscience de soi n’a le droit d’usurper ce droit absolu à un autre être individuel. En tant que gardiens de la planète Terre, chaque homme et chaque femme vivants ont le même droit d’utilisation de toutes les ressources de la planète Terre. Par conséquent, chaque individu a l’obligation de s’assurer qu’il n’utilise que les ressources nécessaires pour mener une vie épanouissante et productive, afin de soutenir la vie, d’exercer sa créativité et de développer au maximum ses capacités naturelles. En s’incarnant sur la planète Terre, chaque homme et chaque femme vivant a donné son consentement exprès à être auto-responsable et a consenti à ses obligations de veiller à prendre soin de la planète Terre, de sorte que toutes les ressources de la planète soient partagées équitablement, favorisées et rendues disponibles pour les générations futures. Les droits d’utilisation des biens de première nécessité de la vie (eau, nourriture, logement, énergie et vêtements) doivent être partagés équitablement. Aucun homme ou femme vivant ne peut s’approprier ces droits absolus pour les contrôler et en tirer profit de manière inégale.
Tout être conscient et conscient de soi-même qui nie ces vérités absolues et s’efforce d’usurper le libre arbitre et le choix des autres en créant des modèles et des systèmes conçus pour asservir, que ce soit par des moyens volontaires ou involontaires qui supposent un consentement implicite, nie l’existence de la conscience collective unique et divine et fait preuve d’une incompétence mentale totale. Ce faisant, ces entités perdent tous leurs droits et prérogatives, et toute autorité ou titre revendiqué est nul et non avenu dès le départ. Dans ce cas, tous les êtres individuels, responsables et conscients d’eux-mêmes, dotés d’un esprit compétent, ont l’obligation et le droit de revendiquer leurs droits absolus et de rétablir le véritable état de droit sur la planète Terre.
L’élaboration et la mise en œuvre de ces systèmes prendront du temps ; par conséquent, une période de transition non définie, pendant laquelle l’ancien système restera fonctionnel, sera nécessaire pour minimiser toute souffrance pendant la mise en place progressive des nouveaux systèmes. L’utilisation des systèmes existants se fait par nécessité et n’implique pas le consentement aux statuts, règles, règlements, ordonnances ou présomptions des autorités en place. La divulgation complète n’a jamais eu lieu, or le consentement exige une divulgation complète pour qu’un être conscient puisse exercer son libre arbitre et poser son choix sur la base de la vérité. Par conséquent, le consentement ne peut être ni implicite ni présumé avoir été donné lors de l’utilisation des systèmes existants par nécessité en raison de l’absence de divulgation et de la nature occulte du modèle et des systèmes.
La Souveraineté
Que signifie être souverain et comment le revendiquer ? Pour répondre à cette question, nous devons définir le sens originel du mot « souverain » et la manière dont les idées en mouvement (modèles et systèmes) influencent notre capacité à être souverains. « Souverain » est un mot du VIIIe siècle de notre ère, défini pour la première fois dans Sacre Loi (loi sacrée des Carolingiens) pour décrire une personne ointe par dieu comme ayant l’autorité suprême et indépendante de gouverner une région politique connue sous le nom de royaume. Le mot est dérivé de la combinaison de deux anciens mots latins, « sover » signifiant « sauveur », et « regno » signifiant « gouverner », « être le seigneur suprême ». Par conséquent, être un souverain signifie littéralement, selon son étymologie originale, gouverner et régner comme un sauveur. Ce qui signifie que nous sommes notre propre sauveur.
Selon cette définition, tout homme ou femme prétendant ou nommé à ces hautes fonctions est tenu d’accomplir les trois anciennes et principales missions que sont la protection du royaume, la protection de la loi et la protection du peuple :
- Protéger et défendre un royaume est la première obligation d’un souverain en tant qu’entité juridiquement définie, territoire défini, possédant sa propre personnalité et ses propres droits.
- Protéger et défendre le droit d’un royaume est la deuxième obligation d’un souverain pour garantir la primauté du droit, la justice et l’égalité.
- La protection, la défense et l’enseignement du peuple d’un royaume constituent la troisième obligation sacrée.
Se déclarer souverain et revendiquer la souveraineté de la terre que nous occupons est une énorme responsabilité. Cela ne se fait pas simplement en déposant des documents ou des avis devant les tribunaux. Nous devons d’abord être souverains de notre esprit, de notre mental et de notre corps. Être souverain, c’est savoir que l’on est important, que l’on est puissant, que l’on a un esprit divin éternel qui ne peut jamais mourir. De votre propre volonté (libre arbitre), vous acceptez les obligations qui découlent de l’acceptation de la souveraineté absolue de votre esprit, de votre mental et de votre corps, lorsque vous revendiquez les droits naturels et les droits d’utilisation de cette planète qui vous ont été transmis à la naissance. Les souverains sont chargés, en tant que gardiens, de ne prendre que ce qui est nécessaire et de veiller sur la planète, ainsi que sur notre famille et notre communauté, pour les générations actuelles et futures. Pour cela, il faut vivre une vie de vertu, de courage moral, d’intégrité, de compétence, de joie, de compassion et de volonté de servir les autres pour le bien de tous.
Alors que nous revendiquons notre souveraineté, il est utile de définir les modèles et les systèmes qui influencent notre vie quotidienne et notre capacité à être souverains. La vie est un rêve et les rêves ont des règles ; les rêves deviennent des idées, les idées deviennent des choses, des modèles et des systèmes. Le monde est rempli de modèles et de systèmes qui trouvent leur origine dans des rêves et des idées. Un modèle peut être décrit comme une idée en mouvement. La société fonctionne sur la base d’idées manufacturées en mouvement (modèles et systèmes). Les systèmes juridiques, de santé, financiers, de transport, etc. abondent et sont le fruit d’idées, émanant de nombreuses personnes, qui changent et s’adaptent au fil du temps. Il s’agit d’un processus naturel.
De nombreux dirigeants corrompus ou tyranniques ont utilisé ces systèmes pour contrôler la population et amasser des richesses et du pouvoir. Il y a également eu de nombreuses révolutions et changements de régimes politiques et de dirigeants lorsque certains ont abusé de ce pouvoir. Malgré cela, malgré les nombreuses révolutions du passé, nous nous trouvons encore plus asservis aujourd’hui, car les régimes du monde dit libre deviennent de plus en plus tyranniques, le pouvoir et les ressources étant de plus en plus centralisés, dans un nombre de plus en plus restreint de mains.
Même si les structures politiques changent, les idées sous-jacentes n’ont pas changé depuis plus de 1.000 ans. Peu importe l’ampleur des changements au niveau politique ; tant que les individus ne changeront pas de l’intérieur et ne développeront pas de meilleures idées, rien ne changera vraiment. Par exemple, lors de l’effondrement financier de 2008, Henry Paulson a déclaré aux hommes politiques : « Vous n’aimez peut-être pas les banques, mais les maintenir en vie est le seul choix qui s’offre à vous. Il n’y a pas d’alternative. » C’était et c’est toujours la vérité.
Pour être souverains, nous devons d’abord nous changer de l’intérieur, car lorsque nous changeons notre façon de voir, c’est le monde entier qui change. Nous n’avons que la liberté que nous prenons. Nous ne pouvons être souverains qu’en étant, en pensant et en agissant différemment.
Nous devons être souverains et développer des modèles et des systèmes qui nous permettent d’être autonomes, de nous nourrir, de rester en bonne santé et de créer des communautés de confiance qui n’ont pas besoin des modèles et des systèmes qui nous asservissent. Pourquoi ? Parce que nous abdiquons notre souveraineté par consentement implicite lorsque nous utilisons les avantages des systèmes et des modèles fournis. En effet, nous devons également accepter les obligations et la juridiction de ces systèmes lorsque nous acceptons de nous en servir.
Or, nous utilisons ces systèmes par nécessité, mais ils sont maintenus par la force et la fraude et il n’y a pas de consentement lorsque la force et la fraude sont utilisées. Alors que nous nous efforçons de devenir des communautés d’individus souverains, il se peut que nous devions utiliser les systèmes actuels par nécessité, ce qui signifie que nous n’avons pas donné notre consentement, implicite ou explicite, car nous avons été trompés en pensant qu’il n’y avait pas d’autre solution.
La Souveraineté au 21ème siècle
Il existe une longue tradition de droit, de droits de propriété, de revendications de titres, de propriété et de possession qu’il faut étudier pour vraiment comprendre comment notre souveraineté et nos droits ont été enfermés, nous réduisant à une servitude volontaire, connue sous le nom de « common law » (droit commun). La brève synthèse présentée dans les paragraphes suivants repose sur des fondements qui remontent à plusieurs siècles.
Au XXIe siècle, malgré toutes les lois apparentes contre l’esclavage, la terre est toujours définie comme tout terrain, sol ou terre de quelque nature que ce soit, y compris tout ce qui y est attaché, que ce soit par le cours de la nature ou par la main de l’homme ; cette définition considère donc les hommes et les femmes comme faisant légalement partie de la terre en tant que créatures, au même titre qu’une vache ou un mouton. Cette définition considère donc les hommes et les femmes comme faisant légalement partie de la terre en tant que créatures, au même titre qu’une vache ou un mouton. La terre ne définit donc pas simplement le sol, mais tous les hommes et toutes les femmes revendiqués par des sociétés privées, enregistrées au Delaware, aux États-Unis, faisant partie du réseau mondial qui a usurpé les constitutions et les lois de la plupart des nations occidentales en recourant au droit international privé. Malgré ces revendications scandaleuses, il ne s’agit que d’affirmations, et leur validité dépend de leur provenance. Par définition, l’esprit/le mental de tous les hommes et de toutes les femmes est le souverain absolu de leur corps par le biais d’une véritable fiducie, transmettant les droits divins d’utilisation par la fiducie divine lorsqu’un esprit choisit de s’incarner sur la planète ; par conséquent, aucune personne, entité, esprit ou force ne peut abroger, ni s’interposer dans ou au-dessus d’un tel accord sacré et inviolable.
Toutes les revendications de l’« EL-ite » (élite) étaient fondées sur l’affirmation selon laquelle « dieu » avait transmis au pape la fonction d’Administrateur en tant qu’agent de dieu chargé d’administrer tous les biens sur la planète Terre. Cette revendication repose sur la fausse succession apostolique qui prétend descendre par le sang de Jésus-Christ, et est une fraude « ab initio », c’est-à-dire depuis le début. Ces prétentions reposent également sur le faux « Talmud » qui prétend que les Israélites sont le « peuple élu » et que tous les autres sont équivalents à des animaux sans âme ni esprit, et donc sans pensée ni volonté propre, ce qui est une autre prétention fausse et frauduleuse depuis le début. Toute affirmation frauduleuse est nulle et non avenue, ce qui signifie que toute loi, tout statut, tout décret, tout ordre, tout accord, tout gouvernement, toute couronne, fondant leur autorité, leur droit divin à gouverner sur une affirmation frauduleuse, sont également nuls et non avenus. Ils n’avaient pas d’autorité valide depuis le début et ne peuvent pas prouver que leur revendication du plus haut droit d’utilisation d’un bien (propriété immobilière) leur a été transmise par une fiducie divine et véritable.
Afin de contrecarrer leurs prétentions, nous devons formuler une revendication plus élevée. Depuis environ 10.000 ans avant notre ère, il est admis qu’un homme et une femme ont des droits de propriété divins, transmis directement par le créateur divin à la naissance par le biais d’une fiducie divine. En effet, chaque esprit/âme est une unité unique du créateur divin. Rien ne peut s’y opposer, et chaque homme et chaque femme fait partie du peuple élu, doté à la naissance d’une souveraineté absolue de l’esprit/mental et du corps, qui a droit à la terre promise pour y construire un foyer et utiliser les ressources de cette planète. En vertu de la loi divine, un esprit/âme ne peut posséder un autre esprit/âme, d’où la nécessité pour les usurpateurs de créer de nombreuses fictions juridiques qui peuvent être possédées par d’autres fictions. Ces fictions juridiques ont permis aux el-ites de se prévaloir d’un déni plausible et d’asseoir une position éthique élevée dans leur esprit. Les entités fictives n’ont pas d’esprit, de mental ou de corps, elles peuvent être possédées et leur volonté peut être gérée à leur profit. Tant que personne ne réfute leur revendication et que le consentement peut être considéré comme implicite, on peut prétendre qu’il s’agit d’un choix de libre arbitre.
En choisissant d’utiliser leurs systèmes et d’accepter leur autorité, les individus démontrent qu’ils sont incompétents, qu’ils n’ont pas d’esprit et qu’ils activent des procurations, donnant ainsi l’impression d’abdiquer volontairement leur souveraineté. Cependant, la souveraineté peut être revendiquée en même temps que nos droits naturels et les obligations qui vont de pair avec ces droits. Nous pouvons devenir pleinement compétents en droit, argumenter avec logique et rhétorique, en démontrant que nous sommes sains d’esprit, afin de ne pas être intimidés lorsqu’on nous défie. Nous pouvons respecter le véritable État de droit et contribuer à notre communauté de manière positive. Nous pouvons avoir de meilleures idées et créer de meilleurs modèles et systèmes qui profitent à l’humanité, comme le montre ce plan d’action à titre d’exemple. En fin de compte, être souverain, c’est se comporter avec Vérité, Honneur et Intégrité, avec des preuves publiques qui peuvent être utilisées pour contester toute affirmation contraire, car nous pouvons démontrer que nous avons vécu en tant que souverains. Pour être souverains, nous devons penser et agir différemment et nous rappeler qui nous sommes. Nous sommes importants, nous sommes puissants et nous sommes éternels.
Nous, le peuple, opérant sous la bannière de la Vérité, de l’Honneur et de l’Intégrité, revendiquons par la présente notre pleine souveraineté et les droits de réclamation qui l’accompagnent, alignés sur la pleine responsabilité que nous prendrons pour cela. Notre plan, le Nouveau Plan pour l’Humanité, est en fait notre manifeste pour tous les gardiens du présent et de l’avenir. Nous déclarons par la présente notre droit divin à gouverner pour notre bénéfice, au nom du collectif et au nom de la planète elle-même jusqu’à ce qu’un référendum mondial puisse être initié.
A partir de cette date… … … 25 mars 2023.
Ne pas reconnaître, interférer, bloquer ou abroger nos droits divins va directement à l’encontre de la Loi Universelle ou Rta, et les conséquences de ces actions seront administrées par vos propres actions.
Clause de Non-responsabilité :
The New Blueprint for Humanity Official English First Edition 2023, Truth, Honor & Integrity group. All Rights reserved in Trust.
Aucune partie de ce Plan ne peut être reproduite, stockée dans un système d’archivage ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit (électronique, mécanique, photocopie, enregistrement ou autre) sans l’autorisation écrite expresse et authentique de l’Éditeur.
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Les Gardiens et les administrateurs du groupe Vérité, Honneur et Intégrité sont protégés par la loi suprême du créateur et par les lois de la Rta, qui consistent à opérer dans le cadre de la Règle d’Or de la Loi.
Clause de Non-responsabilité :
Il ne s’agit en aucun cas d’un coup d’État ou de tout autre plan de prise de contrôle hostile. Notre intention la plus pleine est de travailler avec le plus grand nombre, qu’il s’agisse de gouvernements, de groupes de réflexion, d’agences ou d’armées, afin d’améliorer tous les aspects de la vie et les divers mécanismes à l’échelle mondiale. Cette question doit être traitée de manière adulte afin d’assurer une transition en douceur.
Qui sommes-nous ?
Nous sommes simplement un groupe de personnes ordinaires, issues de milieux et d’horizons différents, qui se sont réunies dans le but non seulement de nous changer et de nous améliorer nous-mêmes, mais aussi de changer le monde pour qu’il devienne meilleur. Il n’y a pas d’apparat ici, il n’y a que des gens ordinaires qui ont une vision extraordinaire de l’avenir.
Qui est Gardien ? Qu’est-ce qu’un Gardien ?
Contrairement à ce qui s’est passé précédemment, les Gardiens seront dénués de toute hiérarchie, toute richesse, tout statut et ne s’inscriront dans aucun autre mécanisme comparatif. Rien de tout cela n’a fonctionné pour l’ensemble des humains ; par contre, ce que nous proposons est conçu pour le bénéfice de tous.
Qu’est-ce qui ne peut pas caractériser un Gardien ?
L’ego déséquilibré, le fait de dire « mon idée est meilleure que la tienne », l’inflexibilité, le manque de coopération, le service à soi-même, le manque de compassion, le manque de partage, la cupidité, le désir de gloire ou de richesse.
Quelles sont les compétences requises pour être un Gardien ?
Quelles que soient les compétences que vous apportez avec vous, nous attendons de chacun qu’il soit capable d’élargir ses compétences en apprenant. Nous sommes tous capables d’accomplir tellement plus, lorsque nous sortons de l’état d’esprit comparatif et compétitif et que nous allons au-delà de notre propre chemin. Aucun programme de limitation n’est requis ; la manifestation et l’expansion du Soi au profit de tous sont nécessaires pour aller de l’avant. Nous recherchons le service aux autres, et non le service à soi-même ; le service à soi-même n’a jamais fonctionné dans le passé et n’aura plus sa place à l’avenir. Tout le monde a des idées, des visions, des idéaux et des objectifs ; combinons-les pour en faire ce qu’il y a de mieux pour nous tous.
Quel est le rôle d’un Gardien ?
- S’élever soi-même et élever tous ceux qui nous entourent ; afin d’être la meilleure version de soi-même.
- Travailler avec diligence pour le bien de tous.
- Faire en sorte que l’humanité entière devienne une espèce bienveillante, désireuse de partager et aimante.
- Nous élever tous, et non nous maintenir les uns les autres dans le caniveau ; il s’agit de tendre la main, et non le poing, ni de faire retentir le bruit des bottes.
- Faire de cette planète et de ses différentes « races » un tout dont nous pouvons tous être fiers.
Qui peut être Gardien ?
Toute personne qui agit avec les meilleures intentions pour l’ensemble de l’humanité et de la planète.
Rejoignez-nous sur https://thenewblueprintforhumanity.org.
- En tant que Gardiens, nous demandons que toutes les restrictions en matière de visas soient suspendues au niveau mondial afin de permettre aux Gardiens de voyager et de vivre là où leur travail les conduit.
- En tant que Gardiens, nous demandons que soit constituée, dès le début, une équipe de sécurité entièrement contrôlée et validée, ayant pour fonction de protéger ceux qui administrent ce Plan jusqu’à ce Plan ait généré une sécurité à plus grande échelle.
- En tant que Gardiens, nous demandons que soit constituée une équipe légale et juridique entièrement contrôlée et validée pour protéger le groupe, qui d’autre part gère les grèvements et charges qui pourraient se présenter au cours de notre travail.
- En tant que Gardiens, nous demandons que soit constituée une équipe d’économistes entièrement contrôlée et validée, qui se penche sur le calcul des coûts de tous les projets, afin que ces projets respectent le principe de frugalité et en optimise les moyens à travers l’utilisation la plus économique de nos fonds.
- En tant que Gardiens, nous demandons que soit construit un complexe de bâtiments sûr et sécurisé, pour accueillir autant de Gardiens que possible et leur permettre d’effectuer leur travail dans un environnement sûr et sécurisé, à l’abri de toute interférence, de tout ciblage ou de toute autre action malveillante.
Pour mettre en œuvre ces plans, les Gardiens, dont le nombre sera réduit au départ, occuperont dans un premier temps des postes rémunérés pour mener à bien leur travail. Les salaires seront basés sur nos besoins réels, et ne seront en aucun cas les salaires excessifs passés, basés sur l’avidité. Le travail tel que nous l’envisageons est un travail d’amour, d’attention et de partage, et non une recherche de richesse personnelle. En tant que Gardiens, nous demandons que soit mis à disposition un montant initial de 100 milliards de dollars pour lancer et mettre en œuvre le Plan de Restauration consacré aux HUmains, et nous demandons le soutien total de l’Administrateur actuel, à condition qu’elle soit déclarée compétente dans son rôle.
Nous sommes prêts à collaborer pleinement avec tous ceux qui souhaitent mettre en œuvre ce plan, et nous nous engageons pleinement à encourager les gens à développer et à améliorer ce plan, ainsi qu’à les faire participer. Nous en avons exposé les principes de base et souhaitons apporter des améliorations à toutes les solutions dans la mesure du possible. Les éléments-clés de notre démarche sont le discours coopératif, la flexibilité et l’imagination, et la seule chose sur laquelle nous ne ferons pas de compromis est le rejet de tout ce qui est préjudiciable à nous, le peuple.
Ayant établi et défini que nous sommes des êtres humains, au sens de l’homme Universel Supérieur, ayant établi que nous ne sommes pas une fiction juridique, que nous ne sommes pas non plus morts ou incapables, que nous sommes des êtres vivants naturels dotés d’une pleine connaissance du corps, du mental et de l’esprit, nous, le peuple, défini ci-après comme les Gardiens, souhaitons présenter notre requête telle que définie ci-dessus, avec des droits exclusifs en tant que bénéficiaires du « Trust » (fiducie).
En tant que Gardiens et conformément au Plan de Restauration de la Terre de 2016, convenu avec le Conseil Universel, nous sommes prêts à assumer l’entière responsabilité de ce plan. Cela nécessitera une période de transition monumentale et nous demandons à beaucoup d’entre vous de nous soutenir dans cette entreprise afin de permettre une transition aussi harmonieuse que possible. Nous venons en paix et non en vain, et nous souhaitons vous mobiliser tous autour du désir d’améliorer la vie et cette planète pour le mieux-être de tous.
Nous, les Gardiens, revendiquons les droits et la protection y associée des six sièges attribués au Trust au sein du Conseil de l’ONU. Démantelez l’entité actuelle de l’ONU basée à New York City, qui opère de manière frauduleuse, et créez une nouvelle version d’une entité censée être souveraine mondiale, fonctionnant pour et par le peuple, avec les Gardiens pour seuls interlocuteurs. Nous venons en paix et non pas en vain, et nous souhaitons vous mobiliser tous autour du désir d’améliorer la vie et cette planète pour le mieux-être de tous.
Nous, les Gardiens, revendiquons le droit d’accès et la protection y associée d’un ou plusieurs sièges au sein du Conseil de la Famille des Nations qui se trouve actuellement dans le faux état et la fausse municipalité de Washington D.C. Il est présidé par S.E. S.A.R. le Premier Ministre Royal Ernest Rauthschild. Nous, les Gardiens, sommes conscients que le vrai sens de « Nations » signifie « races », et, comme nous sommes la « race » désignée pour cette planète, nous avons le droit d’avoir notre mot à dire au sein du Conseil des races. La Famille des Nations opère au nom des vrais éléments Royaux de cette planète, dont aucun n’est connu du grand public. Il existe deux systèmes Royaux, tout comme pour les banques et les marchés boursiers, un système de façade et un système caché. Je suis partiellement informé au sujet du système caché, car j’ai participé à l’un d’entre eux lorsque je travaillais pour l’Administrateur. La Famille des Nations tente de prendre le contrôle du Trust car elle estime, comme tous les autres avant elle, qu’elle en est la gardienne. Nous sommes ici pour déclarer que tous les anciens gardiens du Fonds ont manqué à leur obligation d’administrer le Fonds de manière juste et équilibrée. Vos accords portant sur 70 ans sont nuls et non avenus car ils ont été mis en œuvre sans que le monde entier n’en soit pleinement informé, ce qui constitue une fraude et donc entraîne la nullité. Le dernier accord majeur pour ce plan de 70 ans a été conclu en 1944 dans le cadre des accords de Bretton Woods. Il est arrivé à échéance en 2014 et a été prolongé par l’ancien Administrateur, avec la complicité apparente de l’actuel Administrateur. Ce plan est également déclaré nul et non avenu. Nous venons en paix et non en vain, et nous souhaitons vous mobiliser tous autour du désir d’améliorer la vie et cette planète pour le mieux-être de tous.
En tant que Gardiens, nous revendiquons un minimum de trois sièges pour toutes les autres réunions qui décident de l’avenir du peuple et de la planète. En tant que représentants, nous avons le droit de nous exprimer sur toutes les questions relatives à cette planète. Parmi les réunions auxquelles nous devrons assister, citons les réunions du Bilderberg, celles du Conseil Atlantique, les réunions du Trans Atlantic and Pacific Trade, celles de l’OTAN, celles des BRICS et toutes les autres réunions de ce type. Toutes les dépenses liées à notre représentation à ces réunions, y compris l’hébergement, les déplacements, les repas et les mesures de sécurité, doivent être financées par le Trust. Nous venons en paix et non en vain, et nous souhaitons vous mobiliser tous autour du désir d’améliorer la vie et cette planète pour le mieux-être de tous.
En tant que Gardiens, nous revendiquons le droit d’avoir notre propre banque privée, notre propre système de « rail bancaire » et/ou notre propre système de livraison, qui ne peut pas être altéré ; il ne nécessitera pas de portes dérobées et ne demandera pas d’autorisations spéciales. Ce rail ne fera pas partie du système bancaire de la porte dérobée (back door) et résidera uniquement dans le système de la porte avant (public). Pour l’administrer, nous demandons qu’un ou plusieurs Gardiens ou personnes nommées soient sélectionnés collectivement par Kimberley Ann Goguen (Administratrice) et le groupe Vérité, Honneur et Intégrité, et qu’ils soient hébergés à la Réserve fédérale, au Trésor et à la Maison Blanche pour assurer la sûreté et la sécurité des fonds fournis par le Trust lui-même. Ce processus se poursuivra après la suppression de la Réserve fédérale frauduleuse, qui sera remplacée par une banque centrale exclusivement Américaine ne comprenant aucun membre de l’ancienne Réserve Fédérale, qui opère sous l’égide de la Couronne (Royaume-Uni).
En tant que Gardiens, nous visons à remplacer le Trésor US ou U.S. actuel et à restaurer le Trésor original qui a été usurpé après la prise de contrôle par la Réserve fédérale en 1933. Aucun haut fonctionnaire du Trésor actuel ni aucun banquier de premier plan des banques accréditées par la Réserve fédérale n’exercera ses fonctions au sein du nouveau Trésor Américain ; les représentants du Trust seront les principaux superviseurs de toutes les opérations du Trésor.
En tant que Gardiens, nous requérons un système informatique et de communication séparé qui ne soit pas connecté aux anciens systèmes, qui sont tous corrompus. Ce nouveau système doit être construit en privé, sans portes dérobées, sans logiciels espions, sans programmes de traçage ou de surveillance, sans collecte de données basées sur l’IA ou autres, sans logiciels algorithmiques, sans logiciels publicitaires et sans aucun autre matériel, micrologiciel ou logiciel malveillant. Aucun composant Microsoft, Palo Alto, Google, Twitter, YouTube, Facebook/Meta ou Five Eyes n’est autorisé (Five Eyes désigne une alliance de renseignement comprenant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni, et les États-Unis.
En tant que Gardiens, nous cherchons également à obtenir une part de tous les droits miniers, qu’il s’agisse de pétrole, d’or, d’argent, de platine, de diamants et de tous les autres métaux et minéraux souterrains. Ce partage se fera sur la base d’un pourcentage faible au départ, qui augmentera au fil du temps, à mesure que le nombre de Gardiens augmentera, et qui pourra ensuite être partagé de manière égale dans le cadre du Plan de Restauration. Tous les revenus collectés iront à des projets conçus pour améliorer la vie, la situation du peuple, l’environnement et la planète.
Je demande à tous ceux qui écoutent [ou lisent] ceci d’ouvrir un espace dans leur cœur et de nous accueillir, nous et ce plan. En vertu de notre déclaration, nous abrogeons toutes les autres fausses revendications et tous les autres droits comme étant nuls et non avenus à partir de cette date : 25 mars 2023.
Ceci est notre message et notre déclaration, émis par Thomas Williams en tant que représentant des Gardiens, et convenus avec les autres personnes désignés comme membres Gardiens.